Sentinels speaks of humans filled with hope who seek how to love for a long time what lasts only an instant, of those who seek to make several loves coexist, and of those for whom the experience of loneliness would become a comfort in the absence of of a happy life for two or more. Because beyond love failures, each figure in the work wonders about the consequences of faulty communication, the social impossibility of building new models of common life, and the reconciliation of desire and responsibilities.
Sentinels traces four moments in life, four charachters of women who fight to find their place in the face of social diktats and the sacrifices imposed on them.
C.Lechat - C.Olivares - R.Blin
Artistic team
MUSICAL COMPOSITION
Clara Olivares
MUSICAL DIRECTION
Lucie Leguay
LIBRETTO AND STAGING
Chloé Lechat
SET DESIGN
Céleste Langrée
LIGHTS
Philippe Berthomé
COSTUMS
Sylvie Martin-Hyszka
VIDEO
Anatole Levilain-Clément
STAGE DIRECTOR ASSISTANT
Joséphine Kirch
Noémie Develay-Ressiguier
Distribution
A
Anne-Catherine Gillet
B
Sylvie Brunet-Grupposo
C
Camille Schnoor
E
Noémie Develay-Ressiguier
Anne-Catherine Gillet dans le rôle de A
© Frédéric Desmesure
Anne-Catherine Gillet et Noémie Develay-Ressiguier,
copyright Frédéric Desmesure
Anne-Catherine Gillet et Noémie Develay Ressiguier
© Frédéric Desmesure
Bordeaux Gazette
« L’action, les amours déçus ou contrariés, les outrances très exagérées mais, en même temps limpides et simples s’entrechoquent sans jamais l’emporter sur une philosophie à bon marché frisant l’indécence. L’opéra nouveau est arrivé !! »
Opéra online
« Les Sentinelles s’inscrivent dans l’histoire de l’opéra, un peu comme les ouvrages de Giancarlo Menotti l’ont fait après-guerre. Des tranches de vie quotidienne et résolument contemporaines, offrant de beaux portraits de femmes (ici quatre de générations différentes) (...)
La démarche semble avoir touché le public, et nul doute que pour les reprises, la jeunesse ne s’y reconnaisse de façon vibrante. En somme, des Sentinelles à surveiller de près ! »
Transfuge
« Si le public se montre charmé, ou désarçonné, il apprécie la finesse de la réflexion proposée par ce tableau de trois femmes qui disent « je t’aime » parce que c’est plus court que « je ne t’aime plus »